Son histoire

Le Centre d’études sur les médias, les technologies et l’internationalisation (CÉMTI) est créé en 2001. Son directeur est Armand Mattelart (2001-2004), à qui succèdent Jacques Guyot (2004-2013), Fabien Granjon (2013-2017) et Jacob Matthews (2017-2018). Le CÉMTI est rattaché à l’école doctorale en "Sciences sociales" (ÉD 401).

Brochure 2002

À l’origine, en 2001, le CÉMTI regroupe 3 sous-équipes : le GREDAC (Groupe de recherche sur les dispositifs et les acteurs de la communication, animé par Thierry Lancien), le GRAME (Groupe de recherche sur les apprentissages des médias et l’éducation, animé par Geneviève Jacquinot-Delaunay) et Intermédia (animé par Jean-Paul Desgoutte). 

En 2008, les 3 sous-équipes laissent place à 4 axes de recherche : « Histoire, politiques et analyse des médias » ; « Territoires et internationalisation » ; « Industries de la culture, de l’information, des arts et de l’éducation » ; « Usages et TICN (Technologies d’information et de communication numériques) ». 

En 2010, les 4 axes de recherches sont regroupés 2 par 2 : le premier axe intitulé « Approches interdisciplinaires des médias et des industries culturelles » (animé par Gilles Delavaud puis Fabien Granjon) comprend « Histoire, politiques et analyse des médias » et « Réception, pratiques, usages » ; le second axe intitulé « Internationalisation, économie politique de la communication (animé par Tristan Mattelart) comprend « Économie politique de la communication » et « Internationalisation de la communication ». 

En 2012, les 2 axes sont remplacés par 2 « équipes internes » : « Marges & dispositifs médiatiques : contenus, publics, usages » (animée par Fabien Granjon puis Aurélie Tavernier, puis Maxime Cervulle) et « Mondialisation, minorités et industries culturelles » (animée par Tristan Mattelart), ainsi que 3 « projets transversaux » : « Médias, technologies, et (contre-)révolutions », « Journalisme intégré en Europe », et « Cultures critiques et mondialisation ». 

En 2016, les 2 « équipes internes » sont à leur tour remplacées par 3 « axes de travail transversaux » : « Épistémologies et critique », « Industries culturelles et expériences médiatiques » et « Communication, rapports sociaux et résistances »

En 2018, les 3 « axes de travail transversaux » sont remplacés par 2 sous-équipes, l’une liée à une « Approche communicationnelle des médias, rapports sociaux et résistances », l’autre aux « Expériences oppositionnelles et (contre)-hégémonies ».

En 2019, les 2 sous-équipes sont fusionnées et le travail est réparti selon 4 axes de recherche : « Approches communicationnelles de l’image et du regard », « Art, politique et expériences spectatorielles », « Médias, médiatisations et logiques d’appropriation », « Logiques de production des plateformes et usages résistants ».